-
Le Péché De David
Contributed by Créteur Fabien on Mar 30, 2006 (message contributor)
Summary: Etudes sur 2 samuel 11, inspiré des ressources d’études Zondervan.
- 1
- 2
- 3
- …
- 10
- 11
- Next
3. Le péché de David contre Bathsheba (11:1-5)
Bien que le chapitre 11 soit une unité discrète dans de plus grands chapitres se composants complexes 10-12 (voir le commentaire 10:1-19), les références à David, Joab, les ammonites, Rabbah, et Jérusalem en 11:1 et dans Marc 12:26-31 il probablement que les chapitres 11-12 constituent une section intégrale dans cela complexe. Une lecture étroite de la section produit le contour chiastique suivant (cf. pareillement Samuel A. Meier, l’historiographie de Samuel [thèse principale, de Dallas Theological Seminary, 1978], pp 8-9 ; pour cependant une analyse légèrement divergente comparable, cf. Sacon, "récit de succession ’" pp 42-44) :
A. David envoie Joab pour assiéger Rabbah (11:1).
B. David couche avec Bathsheba, qui devient enceinte (11:2-5).
C. David tue Uri (11:6-17).
D. Joab envoie à David un message (11:18-27a).
E. Le seigneur est contrarié avec David (11:27b).
D’. Le seigneur envoie à David un messager (12:1-14).
C’. Le seigneur frappe le fils de David, qui meurt (12:15-23).
B ’.David dort avec Bathsheba, qui devient enceinte (12:24-25).
A’. Joab envoie pour que David assiège et pour capture Rabbah (12:26-31).
Le contraste entre la folie de David (comme joué dehors dans les chs. 11-12) et la "sagesse de Salomon" (1 rois 10:4 ; Cf. 1 rois 4:29-34) est expliqué autoritaire par Carole Fontaine, "le roulement de la sagesse sur la forme 2 Samuel 11-12 et 1 rois 3," JSOT 34 (1986) : 61-77. Au cours de sa glissade du haut en bas de la tentation dans le péché, David parvient à désobéir à trois des Dix commandements :"tu ne convoiteras pas l’épouse de ton prochain" ; "tu ne commettras pas l’adultère" ;"tu n’assassineras pas" (Exode 20:17, 14, 13). Sa conduite exécrable dans le chapitre 11 est un exemple de défilé des vérités exprimées en Jacques 1:14-15 : "chacun est tenté quand, par son propre désir mauvais, il est traîné loin et attiré. Puis, après que le désir ait conçu, il donne naissance au péché ; et le péché, quand il est adulte, donne naissance à la mort."
1 "l’histoire de David et de Bathsheba a longtemps réveillé la consternation et l’étonnement ; consternement que le Roi David, avec sa piété manifeste, pourrait se pencher à un tel acte, et étonnement que la bible le relate avec une telle franchise persistante, bien que la personne impliquée soit David, le grand et célèbre roi, le type du Messie "(Hertzberg, p. 309). Le péché de David contre Bathsheba, tandis que décrit de la mode la plus laconique imaginable, est néanmoins significatif pour le tout cela. En effet, "l’épisode de David Bathsheba… est le pivot à notre compréhension de son règne" (Rosenberg, p. 125).
L’histoire, continuant le récit commencé au chapitre 10, est placée "au printemps, au moment où les rois vont au loin faire la guerre" (Cf de v. 1 ; 1 rois 20:22, 26). "le mois de mars, baptisé du nom de Mars le dieu romain de la guerre, a les moyens un parallèle" (Gordon, I et II Samuel, p. 252). Le printemps, qui marque la fin de la saison des pluies dans le Moyen-Orient, s’assure que les routes seront en bon état (ou au moins acceptable), qu’il y aura d’abondance de fourrage pour des chevaux de guerre et emballera des animaux, et qu’une armée sur la marche pourra piller les champs pour la nourriture (cf. de Vaux, AIS, pp 190, 251). C’est moins probablement la théorie qui "le ressort" (Lit., "[ retour de l’année") se rapporte dans ce cas-ci "à une date historique particulière (un an après que les rois d’Aram sont allés en avant joindre les ammonites contre Israël)" (une option proposée par Sternberg, p. 194 ; des Cf. 10:6 ; 1 Chronique 19:9).
David "envoyé" (v. 1 ; pour l’importance du shlh dans les chs. 10-12, voir le commentaire 10:2, et pour son importance dans le ch. 11 en particulier, cf. Uriel Simon, "du pauvre homme Brebis Agneau: Un exemple d’une parabole juridique, "Biblica 48, 2 [ 1967] :209) son commandant d’armée Joab, ses "hommes" (Lit., "domestiques," sans aucun doute les troupes de mercenaires), et "l’armée entière d’israélite" (le rassemblement tribal) pour continuer la bataille contre Ammon. Le résultat est la tuerie de masse des ammonites et du siège de Rabbah, leur ville capitale (dont voir le commentaire 10:3), la réduction et la capture doit venir encore (cf. 12:26-29).
Le narrateur laisse ainsi l’impression que chaque homme apte en Israël va faire la guerre -- chacun, c.-à-d., excepté le roi lui-même :"mais David est resté à Jérusalem." Le contraste entre David et ses hommes a pu à peine être exprimé en termes plus rigides. Rester à la maison dans de telles situations n’était pas la pratique en matière habituelle de David, naturellement (cf. 5:2 ; 8:1-14 ; 10:17). En effet, menant ses troupes dans la bataille a été prévu pour être l’activité externe principale d’une règle orientale proche antique (voir 1 SAM 8:5-6, 20 et commentaires). Bien que donc répréhensible en soi, la conduite de David à cette occasion ouvre la manière pour le comportement royal qui est un distillateur plus ignoble.