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Etudes 1 Cor 6/9-12
Contributed by Créteur Fabien on Nov 28, 2017 (message contributor)
Summary: Paul éclate dans un catalogue terrible des péchés qui est un commentaire sinistre sur la civilisation débauchée dans laquelle l’église corinthienne grandissait. Il y a certaines choses qu’il ne pas plaisante de parler que, mais nous devons regarder ce cat
Beaucoup plus tard, le nom d’Hadrien empereur a été associé à une jeunesse de Bithynian appelée Antinous. Il a vécu avec lui inséparablement, aride, quand il est mort, il l’a déifié et a couvert le monde de ses statues et immortalisé son péché en appelant une étoile après lui. Dans ce vice particulier, dans la période de l’église primitive, le monde a été perdu à la honte ; et il peut y avoir peu doute que c’était une des causes principales de sa dégénérescence et de l’effondrement final de sa civilisation.
Après ce catalogue redoutable des vices, normal et artificiel, vient le cri de Paul du triomphe "et ce que vous étiez certains." La preuve du christianisme s’étendent dans sa puissance. Elle pourrait prendre les restes de l’humanité et les transformer dans des hommes. Elle pourrait porter des hommes perdus à la honte et leur faire des fils de Dieu. Il y avait à Corinthe, et partout dans le monde, les hommes qui étaient les preuves vivantes de la puissance de la recréation du Christ.
La puissance du Christ est toujours identique. Aucun homme ne peut se changer, mais le Christ peut le changer. Il y a le contraste le plus étonnant entre le païen et la littérature chrétienne du jour. Seneca, un contemporain de Paul, a crié que quels hommes veulent est "une main a laissé vers le bas les soulever vers le haut." les "hommes," il a déclaré, "sont primordialement conscients de leur faiblesse dans des choses nécessaires." les "hommes aiment leurs vices," il a dit avec un genre de désespoir, "et les détestent en même temps." Il s’est appelé des tolerabilis d’un homo non, un homme à ne pas tolérer. À ce monde, conscient d’une marée de décadence que rien ne pourrait arrêter, là est venu la puissance radiante du christianisme, qui pouvait d’une façon triomphante rendre toutes les choses nouvelles.