SERIE « LES SECRETS D’UNE VIE ABONDANTE »
Tout commence dans Jean 13 et Jean 14, dans la chambre haute où le Seigneur passa ses derniers temps avec ces disciples à parler, tout ce qui est dit, fut de la plus haute importance, il prit le temps de les enseigner, sachant qu’il allait mourir… Eux ne comprenaient pas, pensant qu’il parlait sous forme d’allégorie pour la mort, ayant vu tant de miracles, la possibilité de mourir en si bon chemin était à peine croyable… Imaginez que la personne qui vous parle va mourir, tout ce qu’elle est train de vous dire prend une tournure tout autre… vous allez vous rappelez des mots prononcés jusqu’à la fin de votre vie !
Puis son ultime message commence dans Jean 15, dans la nuit où il fut trahi, nous pourrions appelé cela les secrets sur le chevet de sa mort.
Tout avait commencé dans la chambre haute, vous êtes autour d’une table assis sur des coussins, vos visages vers le maîtres, c’est un repas de Pâques, que Jésus vous a offert, ceux qui sont là quelque chose sur la personne de Jésus, c’est lui le Messie, ils ont passé les 3 dernières années avec lui, comme nous aujourd’hui, et on sait que cela vaut la peine de marcher avec lui, mais eux aussi ont passé le temps à discuter qui est le plus grand parmi eux…
Jésus les a tout d’abords surpris puisque « Pendant le repas, alors que le diable avait déjà mis au coeur de Judas, fils de Simon, de le livrer, Jésus, qui savait que le Père avait tout remis entre ses mains, qu’il était venu de Dieu et qu’il s’en allait à Dieu, se leva de table, ôta ses vêtements et prit un linge dont il s’entoura. Ensuite il versa de l’eau dans un bassin et se mit à laver les pieds des disciples et à les essuyer avec le linge qu’il avait à la ceinture. » Jean 13/2-5. Pourquoi notre maître se comporte-t-il avec nous comme un domestique ? Puis les choses deviennent plus étrange, « En vérité, en vérité, je vous le dis, l’un de vous me livrera. » v.21, après cela il dira à Pierre, toi tu me trahiras 3 fois avant le coucher du soleil ! Puis il conclut ces moments par une dernière parole qui les assomment : « Je ne parlerai plus guère avec vous, car le prince du monde vient. » Jean 14.30 ils ont compris tout leur rêve est en train de s’écrouler celui qu’ils attendaient comme Roi, maître est en train de dire que tout s’arrête ! A ce moment là les questions prennent fin Jésus dit « Levez-vous, partons d’ici. » Jean 14.31.
A ce moment ils ne sont que onze, Jésus et 10 de ses disciples, ils partent dans la fraîcheur de la nuit… Jésus veut les emmener vers le Mont des Oliviers, sur la route, ils ont l’habitude de traverser diverses plantations et vignes sur le chemin de cette montagne… Sur ce chemin, Jésus s’arrête, entourait de rangée de vignes… les disciples ayant des torches à la main. Et Jésus commence « Moi, je suis le vrai cep, et mon Père est le vigneron. » Jean 15.1, dans les minutes qui suivent Jésus parle du vigneron de la façon dont la vigne est soignée par lui, c’est au travers de cela qu’il choisit de leur confier de leur révéler le plus beau des secrets de la vie chrétienne ! Un peu comme les disciples nous sommes souvent surpris de ce que cela veut dire de suivre le Seigneur, désorientés et peut être nous nous sentons trahis par Dieu lui-même.
Si certains ce matin, se sentent comme les disciples qui ont vécu ce moment de crise avec Dieu, écoutez ce qui suit, c’est un peu la révélation, d’une des raisons de pourquoi vous n’avez pas compris les mots prononcés par Jésus ce soir là dans le vignoble… Cela a pu nous amener à avoir perdu notre communion avec Dieu, une vie chrétienne marquée par la déception… Voulez vous prendre à cœur ce qui a été dit ce soir de Pâques, je pense que ce soir là, Jésus pensait aussi à nous, à vous, qui n’aviez pas compris le message principal de ce qu’il veut faire avec nous et en nous !
« Moi, je suis le vrai cep, et mon Père est le vigneron. Tout sarment qui est en moi et qui ne porte pas de fruit, il le retranche; et tout sarment qui porte du fruit, il l’émonde afin qu’il porte encore plus de fruit… Moi, je suis le cep; vous, les sarments. Celui qui demeure en moi, comme moi en lui, porte beaucoup de fruit, car sans moi, vous ne pouvez rien faire… Mon Père est glorifié en ceci: que vous portiez beaucoup de fruit, et vous serez mes disciples… » Jean 15.1-2, 5, 8. Jésus avait toujours l’habitude de parler avec des images, des choses avec lesquelles nous pourrions comprendre nous humains, puis nous peut être plus particulièrement habitant de l’Yonne, proche de la vigne… Y aurait il aussi un message pour nous plus fort ! Jésus une grappe à la main, dira que la chose la plus importante, la plus essentielle, c’est le fruit !
1. Jésus le Cep : Pied de vigne, c’est le tronc de la vigne, c’est ce qui sort de la terre. Avec l’habitude du travail la vigne est élevé à hauteur de la taille, vers les 90cm, ou 1m au dessus du sol, puis au bout du cep, il y a une protubérance d’où sortent les sarments qui partent dans toutes les directions…
2. Dieu est le Vigneron. Gardien du vignoble, le propriétaire, celui qui fait le travail. Il prend soin de la vigne, et la prépare afin qu’elle donne du fruit, le maximum possible.
3. Nous sommes les sarments. C’est sur eux que le vigneron focalise le maximum des efforts afin qu’ils produisent du fruit, le maximum ! Généralement les sarments sont attachés, fixés sur un treillis, sur un fil et sont aussi bien écarté les uns des autres, afin qu’ils puissent respirer, s’épanouir. Le vigneron y travaille pour que le rendement soit là ,et tout cela est fait avec amour.
Jésus est train de leur parler de leur avenir, il va mourir, est ce le moment de parler de cela ? Jésus voulait une chose, qu’ils considèrent leur avenir quand au royaume de Dieu, et les intérêts de ce royaume. Le fuit à porter, est la chose importante, le fruit c’est pas simplement amener quelqu’un à Christ, même si cela en fait partie, on pourrait dire que c’est aussi que c’est les bonnes œuvres :
« (Il faut) que les nôtres aussi apprennent à exceller dans les oeuvres bonnes, pour subvenir aux nécessités urgentes, afin de ne pas être sans fruit. » Tite 3.14
Le fruit que nous pourrions porter serait : l’obtention du meilleur résultat ou le prix le plus exquis de la vie.
« Il est comme un arbre planté près d’un courant d’eau, Qui donne son fruit en sa saison, Et dont le feuillage ne se flétrit point: Tout ce qu’il fait lui réussit. » Psaume 1.3 Cela peut donc être une pensée, une attitude, que nous avons faites et qui rend gloire à Dieu. Le fruit de votre vie c’est ce qui va glorifier Dieu sur cette terre, c’est pour cela que Jésus dira « Si vous portez beaucoup de fruit, c’est ainsi que mon Père sera glorifié, et que vous serez mes disciples. » Jean 15.8
« Mais le fruit de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité » Galates 5.22 Que vous fassiez un travail pour votre voisin, que vous aidiez une pauvre veuve, ou que vous portiez l’évangile dans un pays risqué en tant que missionnaire, le fruit apparaît quand vous voulez donner gloire à Dieu !
Porter du fruit est donc important puisqu’il dira encore « Ce n’est pas vous qui m’avez choisi; mais moi, je vous ai choisis, et je vous ai établis, afin que vous alliez, et que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure... » Jean 15.16
Votre fruit c’est votre investissement, le seul pour le ciel, c’est la raison pour laquelle vous êtes sauvé Paul dira « Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus-Christ pour de bonnes oeuvres, que Dieu a préparées d’avance, afin que nous les pratiquions. » Eph 2.10 C’est seulement que l’on pourra connaître le vrai contentement et épanouissement. Maintenant en visitant nous pourrons comprendre le plan de Dieu vis-à-vis de nous ! nous sommes sur le point de voir à quoi rime notre vie pour Dieu !
Si vous êtes un habitué des vendanges, vous saurez que cela doit se faire rapidement, en France il y a des saisons et des temps pour récolter le raisin, les anciennes méthodes consistés à laisser le panier dans la vigne au fur et à mesure que l’on remplit… Voilà ce qui peut arriver, le premier panier que vous atteignez est vide… pas très encourageant car Jésus dira « Tout sarment qui est en moi et qui ne porte pas de fruit, » Jean 15.2, puis à la rangée suivante, vous apercevez un nouveau panier qui là a « et tout sarment qui porte du fruit » v.2, puis pas trop loin de là quelques mètres plus loin, un troisième panier vous interpelle et là il y a « il porte encore plus de fruit. » v.2… Cela parait peut être plus encourageant pour celui qui est le vigneron ! Et quelques pas après vos regards sont tout de suite attirer par un panier avec de nombreux gros fruits, quelle joie, Jésus dira « porte beaucoup de fruit » v.5
Il y a donc 4 cas de figures que Jésus voit dans la vigne et qui nous parle :
Pas de fruit - Du fruit - Plus de fruit - Beaucoup de fruit
Le Père désire tellement recevoir de nous davantage de fruit, qu’il entretient d’une manière active notre vie, et cla afin que nous continuions de progresser en passant d’un sarment productif, d’un panier vide à un panier qui déborde !
Combien de fruit voyez vous dans votre vie aujourd’hui !?
Si nous avions à faire un bilan de nos églises, tout mouvement confondu nous pourrions dire que la moitié des chrétiens ne portent peu ou pas de fruit, un tiers porte un peu de fruit et le reste (15%) porte beaucoup de fruit ! Cela vous surprend il ? Mais porter du fruti serait il le droit à certains, l’élite de Dieu. Comment pouvons nous nous satisfaire d’un panier, vide, à moitié vide ?
Voyons les différents paniers et leur explication :
I PREMIER SECRET :
Un pasteur a raconté un jour cette histoire, alors qu’il était en contact avec une femme de nos églises, la soixantaine, intelligente, elle admit au pasteur, qu’elle n’arrivait pas à vivre une vie chrétienne qui vaut la peine « sa Foi, n’avait pas l’air de fonctionner, elle se demandait si elle comptait pour Dieu… si et si… » L’ami pasteur, après avoir longtemps écouté cette femme, lui dit serait il possible que vous manquiez de pardon ? Et il lui dit, si seulement vous voulez qu’on aille plus loin, on en parle demain et dans les conditions que je vous dis autrement je vous comprend !
Le lendemain, après avoir vécu une nuit blanche, elle était venu… Le pasteur lui demandait de faire une liste des blessures, et accusations liés à sa mère… Toutes ses feuilles furent amener dans les pleurs, et elle dit « voilà ce qui contrôle ma vie »
Après avoir parlé, partagé, pleuré, plusieurs heures elle était enfin prête à commencer quelque chose, du nouveau avec Dieu ! Six mois plus tard mère et fille étaient réconciliés, elle a pris plaisir à servir le Seigneur… voilà le genre de filet dans lequel nous pourrions être ! Êtes vous le genre de croyant que Jésus a pensé quand il a parlé de sarments stériles, de panier vide
« Tout sarment qui est en moi et qui ne porte pas de fruit, » Jean 15.2 Qu’est ce que Jésus est en train de dire, quelqu’un qui porte de fruit, il est quoi… Jésus dit d’abor tout sarment qui est en moi… Rien n’enlève au fait d’être chrétien, ensuite le fait que Jésus dit « on le retranche » Le point principal ici c’est que vous êtes en Christ, on peut être en Christ, être un sarment mais ne porter aucun fruit !
D’abord premièrement quelques mots peuvent nous aider à comprendre, le mot retrancher, est le mot Airo, ce mot signifie littéralement élever… Par exemple le même mot dans Jean 1.29 « Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde. », enlevé le péché, cela suggère plutôt qu’on soulève, qu’on élève le sarment ! La réponse est dans la progression du sarment qui a l’habitude de plutôt tendance à se traîner, se pencher au sol ! Dans cet état les feuilles connaissent la poussière et au moment des pluies, la boue couvrent les feuilles sont souillés, et plein de mildiou ! Maintenant ce style de sarment devient inutile, alors que fait le vigneron à ce moment là !? A ce moment là le sarment est attaché à un tuteur, un fil, il est lavé… c’est là où nous pouvons voir Jésus qui dans le dernier souper c’est mis à laver les pieds de ses disciples… parce que si les feuilles sont sales le sarment dépérit….
Dieu le vigneron, veut ce matin, nous nettoyer coûte que coûte, nous laver, afin que nous portions du fruit, il fera tout pour que nous soyons utile ! Quitte à utiliser certaines mesures pour y arriver, le mot élever, peut nous parler d’éducation…
Eduquer :
« Reconnais en ton coeur que l’Eternel, ton Dieu, te châtie comme un homme châtie son enfant. » Deutéronome 8.5 sommes nous conscient que cette éducation cessera quand ce problème sera résolu Un texte important serait :
« Et vous avez oublié l’exhortation qui vous est adressée comme à des fils: Mon fils, ne méprise pas le châtiment du Seigneur, Et ne perds pas courage lorsqu’il te reprend; 6 Car le Seigneur châtie celui qu’il aime, Et il frappe de la verge tous ceux qu’il reconnaît pour ses fils. » Hébreux 12.5-6
Dieu est celui qui discipline, il discipline ces enfants, et toujours par amour…
« Il est vrai que tout châtiment semble d’abord un sujet de tristesse, et non de joie; mais il produit plus tard pour ceux qui ont été ainsi exercés un fruit paisible de justice. » Hébreux 12.11
Comment Dieu agit avec nous ? De la même façon que nous agissons avec nos enfants, Dieu essaye de nous parler par la discipline…
« La discipline n’a pas à continuer, tout dépend de nous ! Je ne connaîtrai le péché la souffrance tant que je m’accrocherai à mon péché ! »
Revenez à Dieu, demandez lui de vous laver, troquer votre panier vide contre celui qui contient des grappes de raisins !
Avez cous repéré d’abords les gestes d’attention de Dieu, vous concernant… au départ un regard de Dieu, un geste devrait être utile pour nous montrer… 3 Degrés d’intervention dans nos vies :
« Et vous avez oublié l’exhortation qui vous est adressée comme à des fils: Mon fils, ne méprise pas le châtiment du Seigneur, Et ne perds pas courage lorsqu’il te reprend; »
1er Principe : Il te reprends…
Notre conscience peut nous parler, parole par un ami, un passage des écritures, une prédication peut nous rappeler ou une conviction du St Esprit ! C’est son avertissement pour nous faire éviter le péché, le danger ! Avertissements verbaux, qui font partie de la réprimande, soyons toujours à l’écoute, ne poussons pas notre père à intensifier sa correction !
2ème Principe : la correction
6 « Car le Seigneur châtie celui qu’il aime, »
C’est un niveau de discipline, de nous élever différemment, la pression s’augmente dans votre travaille, couple ou finances. Beaucoup de chrétiens vivent dans ce niveau de discipline sans le savoir. Chrétiens insatisfait, critiquant, n’ayant pas de relation, étant comme en conflit avec Dieu comme cette femme…Si vous ne réagissez votre père prendra des mesures de corrections plus fortes pour vous sauver…
3ème Principe : la flagellation :
Et il frappe de la verge tous ceux qu’il reconnaît pour ses fils. » Hébreux 12.5-6
C’est une image très cruelle, si jusqu’aujourd’hui cela vous a laissé dans une indifférence totale alors que lui veut que vous portiez du fruit ! Quand vous étiez enfant qu’elle était la mesure qui allait vous aider à vous rappeler la suite des erreurs à ne plus refaire ! C.S. Lewis dira « Dieu murmure au travers du plaisir mais crie à travers la douleur » Parfois notre père a besoin de crier ! Il prend au sérieux le péché qui se prolonge dans nos vies… Dès fois les églises ne portent pas de fruit, Dieu peut nous amener à nous poser des questions ! certaines des vies ne seraient elles pas en danger ? Sachez une chose :
. Dieu ne fera jamais souffrir quelqu’un d’autre pour quelqu’un d’autre ! Vos parents n’auront pas à souffrir d’une maladie si vous vivez dans le péché…
. Dieu ne discipline pas par colère, impatience et colère
. Dieu offre des occasions de réagir à ces appels
II DEUXIEME SECRET DU VIGNOBLE DE DIEU :
L’histoire d’un homme qui avait une vigne en commun avec son voisin, la personne principale de l’histoire n’était que dans cette maison de campagne que peu de fois, et au printemps, il vit le fermier son voisin, avec des cisailles, en train de tailler la vigne, mais alors éliminant tout ou quasiment ! « il élimine tout » pensait il, vous détruisez tout ? dit il, « vous aimez le raisin, ? » et vous êtes de la ville ? » vous connaissez rien à la vigne ? » Vous avez le choix soit vous faites poussez des feuilles, soit vous voulez du fruit !
On sait que dans le 2ème panier avait du fruit… et tout de suite le secret « et tout sarment qui porte du fruit, il l’émonde » Jean 15.2 La stratégie de Dieu, pour nous faire avancer, c’est de nous émonder, aimons nous ces mots ! Et pourtant pour porter du fruit, c’est la clé…
Le mot émonder signifie éclaircir, réduire, amputer…aussi impensable que celui puisse être, le secret du vigneron pour en plus c’est d’en avoir moins !
Êtes vous prêt à voir les épreuves sous une lumière nouvelle ? Si vous portez du fruit, Dieu va intervenir pour vous émondez, quitte à ce qu vous interprétiez mal son travail, il va quand même le faire… Les disciples ont du facilement comprendre, car la vigne pour eux signifiait l’abondance de Dieu pour le peuple d’Israël. Ils savaient que pour une bonne récolte il fallait aller contre la tendance naturelle de la plante. La vigne a cette tendance de pousser très vigoureusement, avec abondance de bois… si nous laissons cela se développer, nous n’arrivons pas à laisser le soleil atteindre le fruit ! Cela veut dire que si le vigneron la laisse, elle va avoir tendance à développer des nouvelles pousses au détriment du raisin. Cela apparaît impressionnant, mais cela capte les énergies qui au moment de la récolte ne ramènent que très peu…
L’émondage est donc une technique importante mais c’est aussi la seule pour arriver à du résultat…
Pour le chrétien, les pousses et feuilles luxuriantes représentent toutes les préoccupations et priorités de la vie qui ne sont pas mauvaises mais qui nous éloignent d’un ministère, d’un service plus fructifiant pour Dieu. La question est : « est-ce que vous priez pour recevoir, les bénédictions surabondantes de Dieu, et pour ressembler à son fils ? » si votre réponse est oui, alors, vous êtes en train de demander à Dieu les cisailles, car si vous voulez plus, Dieu va y travailler comme cela.
Qu’est ce que le vigneron va faire, ôter les pousses mortes ou bien mourantes…Dieu va lui aussi ôter ce qui dans nos vies accapares nos vies pour l’énergie et notre temps pour l’amener ce qui plus important ! C’est ainsi qu’il peut juger mon utilité pour vous, ou pour d’autres !
• un jeune chrétien dans une compagnie d’aviation se sentira vide dans des soirées entre anciens amis, puis plus tard amènera un de ces amis à Christ ! Activité morte ou mourante, l’abandon produisant un nouveau fruit !
• Un étudiant a choisi entre une séance de gym, et le travail à son campus universitaire et voir bientôt du résultat sur l’endroit où il est…
• Un homme à la retraite se demandait quel type de sport il allait pratiqué, Dieu l’a plutôt invité à s’investir dans des missions à court terme pour aider socialement…
Comme nous l’avons vu, la discipline concerne notre péché, l’émondage concerne notre moi… L’émondage nous sert à lâcher des buts qui nous éloignent de son royaume. Emonder veut dire couper, et peut signifier faire mal, et donc nous avons du mal à faire la distinction. Dès fois on se sent sous pression car on a l’impression d’un péché, Seigneur qu’ai-je fait ? Et cela n’a rien à voir avec cela…
La souffrance c’est vrai arrive dans les 2 cas…
Pourquoi arrive-t-elle parce que si vous péché, elle arrive, et dans le cas de l’émondage, afin que vous portiez plus de fruits !
Quand vous vivez la souffrance c’est soit à cause de pas de résultat dans vos vies ou soit peu de fécondité mais en tout en cas c’est pour plus, c’est çà son désir !
Qu’est que Dieu veut retirer, soit votre péché, soit votre moi !
Quelle doit être votre réaction, Discipline = repentance Emondage = consentement
Le moment où Dieu arrête cela D = au moment où vous arrêtez de pécher, E = quand le travail est fini…
Ce devrait être quoi ma réaction à Dieu, écoutez plutôt cette lettre d’un jeune à son père : « Papa, pendant des années je ne t’ai pas compris. Je ne comprenais que tu voulais me soumettre à tant de règlements lorsque j’étais au lycée, notamment, en ce qui concerne les sorties, la télévision, les corvées et l’argent. Je n’aimais pas tes attentes. Je te trouvais mesquin et stupide. Derrière ton dos, je disais des choses affreuses à ton sujet. Et Papa j’admets que dès fois j’arrivais à te haïr. Mais aujourd’hui, je vois que tu essayais tout simplement d’être un bon papa. Tu ne voulais que le meilleur pour moi. Tu n’abandonnais, ni ne renonçait jamais.
Je suis venu jusqu’ici pour m’excuser auprès de toi auprès de toi pour ce que je disais et pensais de toi. J’avais tort. Je sais que je t’ai profondément blessé et j’en suis désolé ! »
C’est difficile de comprendre notre père céleste quand nous n’avons pas toutes ses données… si depuis des années avec Dieu, votre affection, et votre amour a été affecté, je vous encourage ce matin de revenir à Dieu, et de lui demander de vous aider à comprendre. Dites lui ce que vous avez ressenti, et que vous avez besoin de lui et demandez lui pardon.
FIN DE LA PREMIERE PARTIE