GENESE 22.1-18
4.L’attache d’Isaac (22:1-14)
1-14 le premier verset de ce récit fournit une compréhension préliminaire nécessaire des événements du chapitre. Sans lui la demande de Dieu qui l’offre à Abraham d’abandonné Isaac car "a brûlé l’offre" serait inexplicable. En énonçant clairement au début que "Dieu a examiné Abraham" (v. 1), l’auteur apaise rapidement n’importe quel doute au sujet du vrai but de Dieu. Il n’y a, puis, aucune pensée d’un sacrifice réel d’Isaac dans le récit, cependant dans l’esprit d’Abraham dans le récit qui, naturellement, était la seule pensée qui a été amusé. La structure entière du récit se concentre tellement fortement sur la demande du Eternel que l’auteur a apparemment senti la nécessité de dissiper n’importe quel suspens ou soupçon au sujet de la vraie intention du Eternel.
Plusieurs dispositifs du service narratif pour garder l’attention du lecteur se sont concentrés directement sur la lutte centripète d’Abraham pendant qu’il effectuait la demande du Eternel -- tous, nous pourrions ajouter, sans n’importe quelle mention des pensées réelles de l’esprit d’Abraham.
D’abord, il y a la soudaineté de la demande du Eternel dans le récit. Indépendamment de la remarque dans v.1 que le récit a représenté un test d’Abraham, le lecteur n’est donné aucun avertissement avancé de la nature de la demande ni de sa sévérité. Rien dans les récits précédents n’aurait laissé entendre cette sorte de demande. Le lecteur, en d’autres termes, est comme étonnant et choqué par la demande du Eternel car Abraham lui-même aurait été.
En second lieu, le lecteur n’est donné aucune explication supplémentaire de la demande. La totalité de la demande se compose de trois impératifs simples (v. 2) :"prendre" (qah-Na ’), "vont" (welek), et "le sacrifier" (lehu de weha`a). En outre, le lecteur n’est donné aucune raison de croire qu’Abraham lui-même a eu toute autre explication.
Comme beaucoup de récits bibliques, le lecteur sait souvent l’information que les caractères dans le récit ne connaissent pas. Dans ce cas-ci le lecteur sait que c’était un test. Mais indépendamment de ceci, nous ne savons pas plus au sujet des plans et des manières de Dieu que les caractères dans le récit lui-même. Nous sommes autant dans l’obscurité au sujet de l’intention de manières de Dieu comme Abraham. Ainsi nous, les lecteurs, sommes forcés de compter sur l’évaluation d’Abraham lui-même, dans le récit, et de regarder les événements du récit par ses yeux et au moyen de sa réponse. En même temps, en l’absence d’explication du narrateur, nous sommes forcés de lire nos propres pensées et sentiments dans ceux d’Abraham. Dans le cas de ce récit, le lecteur est donné l’occasion suffisante de faire que comme événements suivants sont relatés. Ce qui est particulièrement apparent est comment l’auteur de cette histoire prolonge le récit avec les détails excessifs et délibérés de la préparation d’Abraham pour le voyage et le voyage lui-même. En permettant ou, en effet, en forçant au lecteur de suivre un acte fortuit et superficiel après l’autre (par exemple, "[ il ] a sellé son âne" [ v. á ], "il a pris avec lui deux de ses domestiques" [ v. 3b ], "il avait coupé assez de bois" [ v. 3c ] -- aucun de ces actes ne prouve approprié au récit à la fin), l’auteur force le lecteur à regarder au delà de ces événements externes narrativement sans signification pour considérer les pensées d’Abraham lui-même car il ainsi matière--factly de porté leur dehors.
L’auteur ne donne aucun conseil quant à la nature des pensées intérieures d’Abraham, mais c’est certainement seulement parce qu’aucun conseil n’était nécessaire. Qui ne peut pas imaginer quel feutre d’Abraham ? Quand, enfin, quelqu’un dans le récit parle, c’est Isaac, pas Dieu, qui brise le silence ; et la question qu’il soulève -- "où est l’agneau pour l’offrande ? brûlé" -- servi à intensifier seulement l’ angoisse que la demande du Eterrnel a apporté à Abraham et à ce jour au lecteur. Quand Abraham finalement finit son silence narratif et parle en sa réponse Isaac, pour la première fois, un conseil à une réponse est donné :il a dit, "Dieu lui-même fournira [ ’yir’eh-llo d’elohim ] offrant l’agneau pour brûlé, mon fils" (v. 8). Une telle réponse n’est pas prévue dans le récit jusqu’ici, mais la réponse elle-même prévoit avec précision les résultats finals de l’histoire :"Le ETERRNEL fournira" (yir’eh v de yhwh. 14).
Ainsi à mi-chemin du récit, l’auteur permet aux mots finals de l’histoire d’apparaître et d’annoncer l’extrémité. Le lecteur est assuré de ce fait des résultats du récit et de la qualité de la foi d’Abraham.
Les mots d’Abraham ont jeté une nouvelle lumière sur son silence. Parmi l’angoisse que le lecteur a lu dans le silence d’Abraham, il y a maintenant également une confiance silencieuse dans l’Eternel qui fournira. Les mots d’Abraham ne devraient pas être compris comme simplement tentative de calmer l’Isaac curieux ;mais à la lumière du fait qu’ils prévoient les résultats réels du récit, ils doivent être lus comme expression confiante de sa confiance en Dieu. Few que les récits dans la genèse peuvent égaler cette histoire dans la tension dramatique. L’auteur semble délibérément prolonger la tension d’Abraham et du lecteur dans sa description des derniers moments avant que Dieu ait interrompu l’action et ait appelé le test à s’arrêter. Chaque action d’Abraham est décrite dans le détail exagéré.Au dernier moment dramatique -- le "[Abraham ] atteint hors de sa main et a pris le couteau pour massacrer son fils" (v. 10) – l’Eternel est intervenu et, comme Abraham avait déjà prévu, fourni un produit de remplacement convenable pour l’offrande brûlé. Abraham a donc appelé l’autel qu’il avait construit "L’ETERNEL fournira" (yir’eh v de yhwh. 14) ; et l’auteur ajoute, "et à ce jour il est dit," sur la montagne de l’ÉTERNEL lui fournira que ’"(yera’eh de yhwh).
5.L’ange de l’Eternel (22:15-19)
15-19 attaché à la fin du récit est un compte d’"en second lieu" (shenith v. ) rencontre 15 entre Abraham et l’ange de l’Eternel. Puisque dans v.19 Abraham retourné aux deux jeunes hommes qui l’avaient accompagné, il s’avère que cette "en second lieu" rencontre avec l’ange doit être comprise comme après avoir été produit à la même occasion que la première. Pourquoi fait alors l’attention d’appel d’auteur à elle comme "en second lieu" réunion ? Peut-être le but est d’appeler l’attention sur le fait que ce deuxième discours est venu à un temps séparé et ainsi après qu’Abraham ait fini brûlé offre. Par l’attention d’attirer de ce fait, l’auteur subtilement mais intentionnellement a séparé le compte de la promesse remplacée (vv. 16-18) du récit du test d’Abraham (vv. 1-15). Peut-être ce dispositif du récit est prévu pour prouver que le renouvellement des promesses originales de Dieu à Abraham n’a pas été basé sur les actions spécifiques d’Abraham en effectuant le test mais plutôt a été basé sur la foi et l’obéissance d’Abraham qui a montré par ce test. Cette interprétation expliquerait l’expression générale "cette chose" (hazzeh haddabar ;NIV, "ceci") dans v.16. Cependant, comme Jacob (dans l’endroit.) a suggéré, le rapport général "parce que tu as fait ceci" est expliqué en se référant plus spécifique à l’acte d’Abraham en accomplissant le tes :"et n’ont pas retenu votre fils. "Contre Jacob il pourrait préciser que la seconde des deux clauses -- "et n’ont pas retenu votre fils" -- est reliée à un waw et est ainsi plus probable une autre raison de la promesse (cf. Andersen, phrase dans l’hébreu biblique pp 99-101), plutôt qu’une explication plus spécifique d’"cette chose."
La promesse réitérée ici est semblable à celle des chapitres 12, 13, 15, 17, et 18. La promesse de la "bénédiction" (v. 17) est semblable à 12:2. L’augmentation des "descendants" d’Abraham est semblable à 13:16 ; 15:5 ;et 17:2. La vue des "nations ’" plaisir de et participation à la bénédiction d’Abraham (v. 18) est semblable à 12:3 et à 18:18. La référence à l’acte d’Abraham de l’obéissance comme base de la promesse est semblable à 18:19. Peut-être, aussi, la référence aux descendants d’Abraham possédant les "villes de leurs ennemis" (v. 17) doit être prise comme référence au cadeau de la "terre" qui est trouvée dans tous les récits plus tôt (par exemple, 12:7 ; 13:15 ; 15:18 ; 17:8).
1 les deux utilisations de ha’elleh ahar Lit. de haddebarim de ha’eleh de vayehi ’hadebharim achar (wayehi ’, "et après ces choses" ;, une "certaine heure plus tard") dans v. 1, 20 montrent la tentative consciente de l’auteur d’incorporer les événements dans un arrangement chronologique défini (cf. 15:1).
La syntaxe de l’abheraham d’’eth ’de nisah de veha’elohim (eth-’abraham "Abraham examiné par Dieu" de nissah ’de weha’elohim) (W + X + QATAL) suggère que la clause contienne l’information de fond pour l’histoire suivante.
2 le lekha de lekhe (le lek-leka "disparaissent") et hamoriah el’erets (’hammoriyah EL-’ERES "à la région de Moriah") semblent être des allusions de nouveau à 12:1 : lekha de lekhe ’calcinateur ’’EL-HA’ARES ar’eka "(de lek-leka l’" congé ") et ’ha’arets’asher’are’ekha de EL (à la terre je te montrerai"). Ceci suggère un jeu de mot entre le hammoriyah et le ra’ah (ra’ah "à voir").Le hammoriyah de mot est un nom de lieu pour un emplacement plus tard identifié avec l’endroit où le temple a été construit (cf. 2 Chronique 3:1). Le Pentateuch Samaritain (hmvr’h [ hmwr’h ]) et quelques versions tôt (par exemple, Samar.Targ., Symm.)hammoriyah d’associé avec le ra’ah. À la lumière du central le rôle a joué en ce chapitre par le ra’ah de verbe (voir l’’yire’eh d’elohim [ ’Dieu de yir’eh d’elohim "… fournira" ], v. å ;yire’eh de yhvh [ yir’eh de yhwh "que le ETERRNEL fournira" ], v. 1â ;yera’eh de yhvh [ yera’eh de yhwh ], v. 14b), l’association du hammoriyah et le ra’ah ont pu avoir été intentionnels.
Dans 2 chroniques 3:1, le seul l’autre occurrence du hamoriah (hammoriyah) dans la bible, là est également un jeu de mot entre le hammoriyah et le ra’ah dans le ledhavidh’abhihu’asher de nire’ah (abihu "’de ledawid de nir’ah ’de calcinateur où [ l’ETERNEL ] eu semblé à David son père"). Le Syriac (= ha’emori [ ha’emori "l’Amorites" ]) reflète une tentative différente d’expliquer le hammoriyah au moyen d’un jeu de mot (M. ’[ M. ’] renverse ’M. [ ’M. ]), mais suggère également une lecture avec ’(’aleph) comme cela du Samaritan Pentateuch. Le parallèle ’du hammoriyah EL-’ERES dans 2b, à savoir, ’omar’eleykha de calcinateur au sujet du l’l’’(’calcinateur ’omar ’eleyka "je te dirai") suggère un jeu de mot semblable de M. ’et ’de M.. Aucun de ces jeux de mots sur le hammoriyah ne devrait nous mener à changer la TA actuelle. Il peut simplement représenter les propres efforts du récit de fournir un contexte plus large pour ces événements au moyen d’un lien inter biblique.
14 le yire’eh (le yir’eh "fournira") est Qal imparfait tandis que le yera’eh (yera’eh "on lui fournira") est Niphal imparfait. Le Niphal dans v. 14b est une explication du rapport d’Abraham dans v. 1â (le ’calcinateur [ ’calcinateur ] fonctionne comme ki [ ki ] ; des Cf. 30:18 ; 31:49 ;BDB, p. 83) et liens le rapport à l’aspect de l’Eterrnel dans le culte (cf. lev 9:4 :alekhem de nire’ah de yhvh de hayom ’[ le nir’ah de yhwh de hayyom ’alekem "pour aujourd’hui le ETERNEL semblera à toi" ]).
sone’ayv ’sha`ar ’’l’oyebhayv progéniture (de zar`ek de weyirash de zar`aka de weyirash ’et (’oyebayw sha`ar " vos descendants prendront la possession des villes de leurs ennemis") d’eth sha`ar prévoit de veyirash d’’eth du veyirashzare`akha
17 zare`ekhe et sone’ayw sha`ar "mai votre possèdent les portes de leurs ennemis," 24:60).