COMPLEMENT D’ETUDES Luc 8/40-42, 49-56
¶Voici le pathétique de la vie soudainement tourné à la joie. ¶Très profondément Luc a senti la tragédie de la mort de cette fille. ¶Il y avait trois choses qui l’ont rendue si intense.¶
¶(a) Elle était son seul enfant. ¶Seulement Luc nous dit cela. ¶La lumière de la vie de ses parents s’était éteinte.¶
¶(b) Elle avait environ douze ans. ¶C’est-à-dire elle était juste à l’aube de sa féminité parce que les enfants en Orient se développent beaucoup plus rapidement que dans l’occident. ¶Elle pourrait même avoir contemplé le mariage à cet âge. ¶Ce qui devrait avoir été le matin de la vie était devenu la nuit.¶
¶(c) Jaïrus était le responsable de la synagogue. ¶C’est-à-dire, il était l’homme qui était responsable de l’administration de la synagogue et celui qui commandait l’adoration publique. ¶Il avait atteint le rang le plus élevé que la vie pourrait lui donner à l’égard de ses compatriotes. ¶Aucun doute il allait bien faire ; ¶aucun doute il était monté l’échelle de l’ambition et du prestige terrestres. Il ¶Ila semblé comme si la vie -- comme elle le fait parfois -- avait donné largement beaucoup de choses mais était sur le point d’enlever la chose la plus précieuse. ¶Tout le pathétique de la vie est dans le fond de cette histoire.¶
¶Les femmes pleurantes étaient déjà venues. ¶À nous il semble presque de façon répugnante artificielle. ¶Mais louer ces femmes pleurantes était une marque du respect aux morts qui n’a été jamais omis. ¶Ils étaient sûrs qu’elle était morte, mais Jésus a dit qu’elle était endormie. ¶Il est parfaitement possible que Jésus ait voulu dire ceci littéralement. ¶Il se peut fort bien qu’ici nous ayons un vrai miracle de diagnostic ; ¶que Jésus a vu la fille était dans une catalepsie profonde et qu’elle était sur le point d’être vivante enterré. ¶De l’évidence des tombeaux en Palestine il est clair que beaucoup aient été enterré vivants. ¶Il pourrait se produire plus facilement parce que les conditions climatiques en Palestine ont fait à enterrement dans une question des heures une nécessité fine. ¶Cependant qui peut être, Jésus lui a donné en arrière sa vie.¶
¶Nous devons noter un contact très pratique. ¶Jésus a commandé que la fille devrait être donnée quelque chose manger. ¶Est-il possible qu’il pense juste autant de la mère en date de la fille ? ¶La mère, avec la douleur de la peine et le choc soudain de la joie, doit avoir été presque sur le point d’effondrement. ¶À un tel temps de faire une certaine chose pratique avec ses mains est un sauveteur. ¶Et il se peut fort bien que Jésus, dans sa sagesse qui a tellement bien connu la nature humaine, ait donné à la mère surmenée un travail de faire pour calmer ses nerfs.¶
¶Mais de loin le caractère le plus intéressant dans cette histoire est Jaïrus.¶
¶(i) Il était clairement un homme qui pourrait empocher sa fierté. ¶Il était le responsable de la synagogue. ¶Par ce temps les portes de la synagogue se fermaient rapidement sur Jésus, si en effet elles ne s’étaient pas déjà fermées. ¶Il ne pourrait avoir eu aucun amour pour Jésus et il doit avoir considéré Jésus comme un briseur de la loi. ¶Mais en son heure du besoin, il a empoché sa fierté et a demandé de l’aide.¶
¶Il y a une histoire célèbre de Roland, le paladin de Charlemagne. ¶Il était responsable de l’arrière garde de l’armée et il a été soudainement attrapé par le Sarazin chez Roncesvalles. ¶La bataille a fait rage violemment contre la chance terrible. ¶Maintenant Roland a eu un cor appelé Olivant qu’il avait pris du géant Jatmund et son souffle pourrait être entendu trente milles de distance. ¶Si puissant était il que, ainsi eux a dit, les oiseaux est tombé complètement quand son souffle a déchiré par l’air. ¶Oliver, son ami, sollicité lui pour souffler le klaxon de sorte que Charlemagne entende et revienne à l’aide. ¶Mais Roland était trop fier de demander l’aide. ¶Un ses hommes sont tombés combattant jusqu’à seulement à lui ont été partis. ¶Alors enfin avec son souffle de mort il a soufflé le klaxon, et Charlemagne est venu à la hâte en arrière. ¶Mais il était trop tard, parce que Roland était mort -- parce qu’il était trop fier de demander l’aide.¶
¶Il est facile de penser que nous pouvons manipuler la vie nous-mêmes. ¶Mais la manière de trouver les miracles de la grâce de Dieu est empocher notre fierté et admettre humblement notre besoin et de demander. ¶Demandez, et vous recevrez -- mais il n’y a aucune réception sans demande.¶
¶(ii) Jaïrus était clairement un homme d’une foi têtue. Quo que¶Quoi ce soit qu’il est senti, il n’a pas complètement accepté le verdict des femmes pleurantes ; car¶ car avec son épouse il est entré dans la salle où la fille était étendue. ¶Il a espéré contre l’espoir. ¶Aucun doute à son coeur là n’était le sentiment, "vous ne savez jamais ce que ce Jésus peut faire." ¶Et aucun de nous ne sait tout ce que Jésus peut faire. ¶Dans le jour le plus sombre nous pouvons encore espérer dans les richesses insondables et la grâce toute suffisante et la puissance irrésistible de Dieu.¶