LE PLAN ET LE DEFI POUR EMJ
Introduction sur le Message (10 min)
Lecture du passage : Mat 16/21-28
Ce qui peut être vu dans ce texte, c’est ce que nous recherchons tous, l’explication, l’avancement du royaume de Dieu, un moment surnaturel où comme Pierre, et les disciples, Jésus prend un temps nécessaire pour nous expliquer, ce qu’il veut, et va faire, et ce qu’il attend de nous dans ces prochaines années… c’est un moment décisif
« En lui Dieu nous a élus avant la fondation du monde, pour que nous soyons saints et irrépréhensibles devant lui, 5 nous ayant prédestinés dans son amour à être ses enfants d’adoption par Jésus-Christ, selon le bon plaisir de sa volonté, » Eph 1/4-5 et « Car ceux qu’il a connus d’avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l’image de son Fils, afin que son Fils fût le premier-né entre plusieurs frères. » Rom 8/29.
Car de plus en plus le chrétien cherche sa destinée, l’œuvre à laquelle le Seigneur l’a appelée à accomplir, c’est au moment où Jésus fut le plus populaire, qu’il prit cette décision très importante pour la suite de son ministère ; le travail qu’il avait à faire sur cette terre pour nous ! Suite à ce modèle vous aurez peut être une vie qui ressemblera à celle de Daniel un haut dignitaire placé dans l’administration de son époque et qui malgré la déportation sera en phase, recevra des visions dans la prière pour son peuple. Ou peut être tel un Néhémie vous serez à reconstruire cette église, pas dans les murs, mais dans un travail dans les cœurs, ou tel un Joseph dans le travail de toute votre vie, malgré un cheminement que seul Dieu voit, vous serez préparé dans la souffrance à exercer un travail qui amènera depuis vos greniers, ou ceux de l’état une provision de nourriture pour un peuple affamée, ou dernier exemple, celui d’Esther, malgré votre avis, vous seriez sélectionné à vos dépends, à un concours de beauté, qui n’aurait qu’une seul fin, de vous amener à une position où vous seriez à même de défendre le peuple de Dieu, par votre position, travail, mais surtout par votre jeûne, et votre Intercession !
A ce moment de l’histoire Jésus Christ a commencé à montrer à ses disciples quelques vérités plus profondes et plus difficiles au sujet de son plan et du travail divin. Ce n’était pas qu’il n’avait dit rien précédemment au sujet de son rejet et de sa crucifixion. De manières voilées il avait parlé de sa mort imminente, disant que " Car, de même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson, de même le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre. " (Matt. 12:40) et avait déclaré aux chefs juifs à Jérusalem, "Jésus leur répondit: Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai. (Jean 2:19 ?). Il continuerait à parler de son enterrement (Jean 12:7 « Mais Jésus dit: Laisse-la garder ce parfum pour le jour de ma sépulture. ») et pour expliquer que le fils de l’homme se lèverait des morts après qu’il ait souffert aux mains de ses ennemis.
La nécessité dont Jésus a parlé n’était pas celui de la dévotion humaine à un grand idéal mais une nécessité impérative et absolue divine. Dieu n’a eu aucun plan de secours ou alternatif. Ce doit est venu comme d’un tonnerre hors de l’éternité. C’était le plan obligatoire et immuable de l’ensemble de Dieu dans le mouvement avant la fondation du monde.
Quatre choses font ce plan nécessaire. C’Était la première fois le péché humain, pour lequel le Messie a dû donner sa vie comme pénalité fort essentiel pour l’homme, en tant que " donner sa vie comme la rançon de plusieurs." (Matt. 20:28).
C’était en second lieu la condition divine qui, (Héb. 9:22 « sans effusion de sang il n’y a pas de pardon. »).
Le troisième était le décret divin de la pré-connaissance souveraine de Dieu (Rom. 8:29 ; Éph. 1:4 -5),
et en quatrième la promesse prophétique que le Messie doit mourir (voir Ps.16 ; 22 ; Esaie 53). Le plan de Dieu n’est pas sujet au changement. Il peut seulement être cru ou rejeté, jamais changé.
1er point 15 min LE PLAN DE DIEU
Exposition
Dès lors Jésus commença à faire connaître à ses disciples qu’il fallait qu’il allât à Jérusalem, qu’il souffrît beaucoup de la part des anciens, des principaux sacrificateurs et des scribes, qu’il fût mis à mort, et qu’il ressuscitât le troisième jour. (16:21)
Dans le verset 21 Jésus mentionnent quatre étapes ou phases de ce plan divin qu’il était venu pour accomplir, quatre choses qu’il devait faire avant qu’il soit accompli.
Le premier doit était pour qu’il aille à Jérusalem. Jésus n’avait pas choisi n’importe quelle route mais celle de Jérusalem, il ne pourrait pas être devenu le sauveur de l’humanité, n’importe comment beaucoup plus de personnes il a guéri ou combien plus de vérité il a enseigné. Il a dû aller à la ville des sacrifices et devenir l’agneau de la pâque, s’offrant "une fois pour toute" (Héb. 7:27 ).
Quand Jésus a parlé d’aller à Jérusalem, il était à Césarée de Philippe, comme loin de Jérusalem car il pourrait être et encore rester en Palestine. Après un bref séjour dans cette ville du nord. À Jérusalem, où les douze ont commencé à craindre la mort par lapidation aux mains des chefs juifs hostiles à Jésus (Jean 11:16). À ce point les disciples ont vu une telle possibilité comme accomplissement du plan de Dieu mais comme un obstacle ou même destruction d’elle.
Même lorsqu’il était en Galilée, c’était les chefs juifs de Jérusalem qui ont donné à Jésus la plupart de l’opposition. Il entrerait là entièrement de sa propre volonté et à son propre temps. " Le Père m’aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. 18 Personne ne me l’ôte, mais je la donne de moi-même; j’ai le pouvoir de la donner, et j’ai le pouvoir de la reprendre: tel est l’ordre que j’ai reçu de mon Père." (Jean 10:17 –18). Il a dit Pilate, " Jésus répondit: Tu n’aurais sur moi aucun pouvoir, s’il ne t’avait été donné d’en haut. C’est pourquoi celui qui me livre à toi commet un plus grand péché. " (Jean 19:11 ?).
Jérusalem nommé signifie "fondation de la paix" bien que peu de fois dans sa longue histoire cette description est adaptée. La ville est située 50 km à l’est de la mer méditerranéenne et 20 km à l’ouest de la mer morte. Une fois d’abord mentionné dans L’Ecriture on l’a connu comme Salem, dont le roi était Melchisédek, "Sacrificateur du Dieu très haut" (Gen. 14:18) et une image du Christ, qui était "Dieu l’ayant déclaré souverain sacrificateur selon l’ordre de Melchisédek. " (Héb. 5:10). Il était sur le mont Morijah, qui était Salem proche, qu’Abraham a offert à Isaac comme sacrifice au seigneur (Gen. 22:2). Lorsque David a été fait à roi, Jérusalem était aux mains du Jébusiens, et un des premiers actes du nouveau monarque devait conquérir la ville et la baptiser du nom de lui même (2SAM 5:5 –9). Trois mois plus tard il a apporté l’arche de l’alliance là et Jérusalem est devenu la ville où le seigneur lui même a symboliquement demeuré. Il était à Jérusalem que le fils de David, Salomon, a construit le temple, et la ville est donc devenue l’endroit central pour le culte juif.
Jérusalem a été alternativement perdu et repris par les juifs, mais il n’a jamais perdu son identité à leurs esprits et cœurs comme ville de Dieu. Quand ils ont été menés dans la captivité à Babylone, le psalmiste a pleuré, " Si je t’oublie, Jérusalem, Que ma droite m’oublie! 6 Que ma langue s’attache à mon palais, Si je ne me souviens de toi, Si je ne fais de Jérusalem Le principal sujet de ma joie!" (Ps. 137:5 –6).
Mais quand Jésus est venu pour mettre à la terre, Jérusalem était loin de la vie jusqu’à son titre de la ville de Dieu. Durant la première pâque de son ministère, Jésus a pris un fouet et a nettoyé le temple des changeurs d’argent et des négociants défilants des animaux sacrificatoires (Jean 2:13 –16). Pendant la prochaine pâque, il a révéré les traditions violé de Sabbat que les rabbis avaient conçues, et les chefs juifs essayés de le tuer pour lui (5:16 –18).
Pendant la troisième pâque, il délibérément est resté loin en raison de la haine de lui là. Plus tard, quand il a assisté à la fêtes des tentes, les chefs juifs de nouveau essayés pour l’arrêter et pour le faire mettre à la mort (7:1 –19, 44 –45 ; c f. 8:59). La raison de son rejet de Jésus, Jérusalem a été donné un nouveau et païen nom, " Et leurs cadavres seront sur la place de la grande ville, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome et Egypte, là même où leur Seigneur a été crucifié?" (Apo. 11:8).
En 70 Dieu avait l’habitude l’armée romaine pour détruire la ville, qui ne serait pas encore sous le commandement juif jusque 1.900 ans après, quand l’état moderne d’Israël s’est produit en 1948. Pendant un jour la ville méritera le nom de Jérusalem, parce que le "En ce jour-là, des eaux vives sortiront de Jérusalem, Et couleront moitié vers la mer orientale, Moitié vers la mer occidentale; Il en sera ainsi été et hiver… 10 Tout le pays deviendra comme la plaine, de Guéba à Rimmon, Au midi de Jérusalem; Et Jérusalem sera élevée et restera à sa place, Depuis la porte de Benjamin jusqu’au lieu de la première porte, Jusqu’à la porte des angles, Et depuis la tour de Hananeel jusqu’aux pressoirs du roi. 11 On habitera dans son sein, et il n’y aura plus d’interdit; Jérusalem sera en sécurité." (Zach. 14:8 , 10 –11). C’était dans le plan divin que le Messie devrait mourir à Jérusalem, l’endroit divinement ordonné du sacrifice, et donc, Jésus dit, " Mais il faut que je marche aujourd’hui, demain, et le jour suivant; car il ne convient pas qu’un prophète périsse hors de Jérusalem." (Luc 13:33).
Le second « doit » dans le grand plan de Dieu était que son fils, le Messie, souffrirait beaucoup de choses des anciens et des sacrificateurs et des scribes en chef. Ces trois groupes de chefs religieux ont composé le Sanhedrin, le haut conseil juif, dont les sièges sociaux étaient à Jérusalem. Les anciens étaient principalement les chefs des diverses tribus dispersées dans l’ensemble d’Israël. Les sacrificateurs en chef étaient en grande partie Sadducéens, et les scribes étaient en grande partie des Pharisiens. En raison de leur incrédulité et rejet, comme leur puissance politique, Jésus souffrirait beaucoup de choses aux mains de ces hommes.
Le troisième doit dans le plan de Dieu était que Jésus soit tué. Le mot grec derrière tué n’a pas été employé des exécutions légales, et dans ce contexte la signification est celle du meurtre. Jésus n’a pas été légalement jugé ou coupable prouvé de mauvaises actions mais a été condamné à la mort sur les frais faux et vindicatives des chefs juifs, qui ont été déterminés à se débarrasser de lui à n’importe quel prix. Il était dans le plan de Dieu qu’à la main de l’homme il devait être assassiné (Actes 2:22 –23 ?).
La quatrième et dernière nécessité était que Jésus serait ressuscité le troisième jour. Mais en raison de leur grande détresse à entendre les trois premiers impératifs, il est probable les disciples n’est pas entendu celui-ci du tout. Pourtant c’était cette vérité qui a rendu les autres supportables. C’était la vérité de la victoire qui conquerrait ces semblants de défaites.
La réponse de Pierre (v. 22) précise que lui et ses disciples de camarade n’avaient pas vraiment entendu les mots de Jésus au sujet du sien étant ressuscité le troisième jour, plus qu’ils l’avaient vraiment entendu dire que les "portes d’Hadès" c’est-à-dire, la mort, ne vaincraient pas son église (v.18). Ils l’avaient vu relever la fille de Jaïrus et du fils de la veuve de Naïn. Mais s’il lui-même devaient mourir, ont-ils probablement raisonné, qui le relèverait d’entre les morts ? Comment un Messie mort pourrait-il délivrer et régner sur son peuple ?
Explication
Dieu pourrait nous dire ce matin, je le crois nous donner une révélation plus précise en aparté, de ce qu’il attend de nous dans les prochaines années… il a pu nous parler dans ces derniers temps de ce qu’il veut faire, quel révolution il veut amener à nos vies, et à cette ville, mais il a cette révélation plus précise tel qu’à Pierre sur son attente, son plan décrit avec des il faut…
Le premier devoir d’avenir pour nous, c’est Jérusalem, cela veut dire quoi, ou qu’est ce que c’est en le remettant dans son contexte, c’est la ville, le bastion d’opposition de l’époque, mais c’est ce qui appartient à Dieu, le nom que Dieu donne à la ville, mais qui n’avait jamais existé comme tel… j’y vois pour nous chrétiens du 21ème siècle la nécessité de faire, de vivre, la Jérusalem, c’est-à-dire l’Eglise… c’est effrayant à la reconquérir, de faire tel que Dieu veut, mais c’est son plan, c’est lui qui le veut on y arrivera !
Le second devoir est la notion de souffrance : sommes nous bien conscient que notre église va souffrir, et cela est dans le plan de Dieu, son plan pour l’Eglise, au travers de nos afflictions tel que Job, Shadrac, Meshac, Abed Négo, où un 4ème homme est apparu, ou comme Paul a entendu pour la 1ère fois « Actes 9:16 et je lui montrerai tout ce qu‘il doit souffrir pour mon nom. »
Quand Pierre répondra à jésus, il dira à Dieu ne plaise, ce n’est pas dans le plan de Dieu, ce genre de choses, la tentation d’éviter la souffrance, de vivre la gloire, déjà Jésus au désert avait fait face à cela, quand le diable lui avait présenté la Gloire, tous les royaumes,
Ce 3ème doit est notre mort personnelle, celle que personne ne peut prendre à notre place, c’est moi qui doit mourir ou ce sera un autre qui sera à ma place, parce que j’en ferais mourir un ! Jean 12:24 « En vérité, en vérité, je vous le dis, si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul; mais, s’il meurt, il porte beaucoup de fruit. » Il est arrivé qu’il y ait eu des morts, des gens qui soient comme dans l’Eglise primitive, la persécution, la mort, mais cela a été la semence de l’Eglise, mais il y a aussi cette autre semence que notre vie morte en Christ, vie spirituelle, pour faire opposition à la vie charnelle !
Le quatrième doit, c’est la nécessité d’amener la Gloire de Dieu sur ce lieu, et il ‘y a pas d’autre plan que de réussir… C’était la nécessité du triomphe et de la gloire.
Argumentation
≥Vous avez noté quels sont les nouveaux programmes des églises en vogue quel est le plan de développement, un vrai plan de coaching, de développement personnel, aider les chrétiens dans les finances, école de danse chrétienne.
≥Nous sommes dans une culture où les gens ont des droits de plus en plus, et veulent les faire valoir, le droit d’exister, de parler, et de dire tout haut ce qu’il pense…
Application
Il a présenté aux disciples deux approches à la vie :
Renoncer à soi vivre pour soi-même
prendre ta croix ignorer la croix
suivre le Christ suivre le monde
perdre ta vie dans son intérêt sauver ta vie dans ton propre intérêt
abandonner le monde gagner le monde
garder ton âme perdre ton âme
partager sa récompense et sa gloire perdre sa récompense et la gloire
Illustration
2ème point 15 min LE DÉFI DERRIÈRE LE REPROCHE
Exposition
Matt.16:23 « Mais Jésus, se retournant, dit à Pierre: Arrière de moi, Satan! Tu m’es en scandale; car tes pensées ne sont pas les pensées de Dieu, mais celles des hommes. »
Avant que nous laissions ce passage, il est intéressant de regarder deux interprétations très tôt de l’expression : " Arrière de moi, Satan!!" Origène a suggéré cela, Jésus disait à Pierre : "Pierre, ta place est derrière moi, pas devant moi. C’est ta place de me suivre de la manière que je choisis, de ne pas essayer de mener ta vie de la manière que tu voudrais que j’aille. "ici Jésus n’a pas bannit pas Pierre de la présence du Christ ; plutôt il lui rappelle à sa place approprié, en tant que disciple marchant dans les empreintes de Jésus. C’est important de se rappeler le contexte de Matthieu, le passage juste avant Pierre vient de dire à Jésus, tu es le fils de Dieu, Jésus lui dira avec toi, tu es pierre, avec toi, qui est une pierre, je vais construire mon église… une pierre de construction ! C’est vrai pour nous tous que nous devons toujours prendre le Chemin du Christ et rechercher à ne jamais le contraindre de prendre notre chemin.
Un développement ultérieur vient quand nous examinons de manière approfondie cette énonciation de Jésus à la lumière de son énonciation à Satan à la fin des tentations comme Matthieu l’enregistre dans Matt.4:10 « Retire-toi, Satan! Car il est écrit: ». Bien que dans les traductions les deux différents sains de passages elles soient presque, mais pas tout à fait, les mêmes. Dans Matt.4:10 : « Retire-toi, Satan! » le Grec est : "Hupage Satana." Dans la traduction de Matt.16:23, Jésus dit à Pierre : "arrière de moi, Satan," et le Grec est : "Hupage opiso mou Satana."
Le point est que l’ordre de Jésus à Satan est simplement : "va t en!" tandis que son commandent à Pierre est : "arrière de moi!" c’est-à-dire, "devient mon disciple encore. "Satan est banni de la présence du Christ ; Pierre est rappelé à être le disciple du Christ. L’une chose que Satan pourrait ne jamais devenir est un disciple du Christ ; dans sa fierté diabolique il pourrait ne jamais se soumettre à cela ; c’est pourquoi il est Satan. D’autre part, Pierre pourrait s’être trompé et pourrait échouer et pourrait pécher, mais pour lui il y a toujours le défi et la chance de devenir un disciple encore. C’est comme si Jésus a dit à Pierre : "En ce moment tu m’as parlé comme Satan m’a parlé. Mais ce n’est pas le vrai Pierre qui parle. Tu peux te racheter. Arrière de moi, et sois mon disciple encore, et encore, tout pourra être bien. "La différence de base entre Pierre et Satan est avec précision le fait que Satan ne sera jamais derrière Jésus.
À condition qu’un homme soit disposé à essayer de suivre, même après qu’il soit tombé, il y a toujours pour lui l’espoir de la gloire ici et ci-après.
Argumentation
Combien de chrétiens, de pasteurs reviennent de certaines décisions ou choix de méthodes… vous connaissez cette phrase, les hommes cherchent des méthodes, Dieu cherche des hommes ! il y a quelques années à Toronto Airport, un église a fait parler d’elle de 300 personnes ils sont passés à des milliers en peu de temps… une soif de voir Dieu agir à tout prix, ces nouvelles doctrines ont amené divisions, confusions, parmi des millions dans le monde.
Application
Illustration
Le jour où le pasteur Claude Houde a demandé au pasteur Wilkerson c’est quoi la clé, le succès pour y arriver, il lui dira qu’il l’a souvent dit, mais que personne ne l’a écouté… occupe toi des pauvres… s’occuper des pauvres s’est accepter leur présence, c’est aller les chercher. Je vais finir en vous parlant du pasteur Nick dans le Nord de la France, un homme qui faisait les cafés pour ramener les ivrognes chez eux… il n’avait jamais le même manteau !
Conclusion 10 min
