Summary: Il y a de tristes moments dans l’histoire du peuple de Dieu. Dieu a promis d’être avec son peuple ; mais dans sa propre sagesse impénétrable, il semble les abandonner. Ce psaume soulève la question de l’abandon divin et défie le croyant de s’abandonner à

ELEVE TA BANNIERE

Lecture : Psaumes 60.

Il y a de tristes moments dans l’histoire du peuple de Dieu. Dieu a promis d’être avec son peuple ; mais dans sa propre sagesse impénétrable, il semble les abandonner. Ce psaume soulève la question de l’abandon divin et défie le croyant de s’abandonner à l’amour et à la compassion du Dieu sage.

C’est un moment de guerre, et David va essayer d’en sortir une leçon pour enseigner le peuple. Il y a comme un engagement sur plusieurs fronts. Il apparaît qu’il y a au moins une victoire avec Joab, dans la vallée du Sel, 12000 hommes sont restés sur le sol, une victoire significative, et puis des fronts, avec pas spécialement, pour l’instant la victoire, mais des combats plus au moins rudes, et déjà des pertes d’hommes… Tandis que, maintenant, les bras de David accomplissaient un tel progrès triomphant dans le nord, les Edomites dans le sud avaient envahi la terre qui a été dégarnie de troupes, et ici une nouvelle guerre, qui a compromis tous les résultats qui avaient été gagnés dans le nord, a attendu l’armée victorieuse. Il faut se souvenir que David est en pleine conquête pour la royauté! Le Psaume 60 se réfère plus particulièrement à cette guerre avec les Edomites.

Apparemment les succès n’étaient pas toujours immédiats, car ce Psaume est une association de lamentations dans ce que le peuple prie pour le succès de Dieu après une défaite apparente.

Il est évident que l’adversité a comme fissuré le rapport d’engagement entre Dieu et son peuple. Le peuple estime que l’abandon provisoire de Dieu pour eux ne leur a apporté rien que la détresse. Sept verbes soulignent l’origine divine : "tu as rejeté… [ tu] éclaté en avant… tu as été fâché.... Tu as secoué… et [tu as] lui as déchiré ouvert.... Tu as montré que… tu as donné "(v.1-3).

Ce psaume se manifeste dans le fait qu’un signe divin est dévoilé et également fait dans la plainte, "Elohim, tu nous fais reculer" est répété en tant qu’expression favorite. "Qu’un lis soit le témoignage" (ou "le lis du témoignage doit être interprétée selon 2 SAM 1:18 " et qu’il ordonna d’enseigner aux enfants de Juda. C’est le cantique de l’arc: il est écrit dans le livre du Juste. 19 L’élite d’Israël a succombé sur tes collines! Comment des héros sont-ils tombés? Le chant est de ce fait nommée pour être chantée en liaison avec la pratique de l’arc. L’élégie sur Saul et Jonathan a été convenue à ceci en raison de l’éloge qui est là-dedans donnée à l’arc de Jonathan, l’arme de favorite de ce guerrier courageux, et par le souvenir indirect des archers philistins habiles, qui ont apporté un déshonneur sur le nom d’Israël dans la bataille à Guiboa, qui a eu besoin aussi rapidement que possible d’être éliminé.

Le Psaumes 60, ceci le plus militaire de tous les psaumes, est également une chanson à la pratique des bras, qui a été conçue pour enflammer et sanctifier l’ardeur martiale patriotique des jeunes hommes quand ils étaient habiles. Pour nous donc c’est un chant utile si nous commençons à nous battre avec engagement!

I. Rejet Psaumes 60:3-7

O Dieu! tu nous as repoussés, dispersés, Tu t’es irrité: relève-nous!

Cette première strophe contient la plainte et la prière ; et établit la prière par la grandeur du besoin et du rapport d’Israël avec Dieu. Le sens de 2 SAM 5:20, où David emploie ce mot de la défaite des philistins, et l’explique d’une façon réaliste. Le mot signifie traverser ce qui a jusqu’ici été une masse compacte, pour éclater, souffler, disperser, éparpiller. La prière est première de tous timidement poussés sous forme de souhait ; ici signifie pour accorder la restauration (comme repos Psaumes 23:3 ; Esaie 58:12).

Les blessures profondes que l’Edomite avait infligées sur le pays, est après tout un visitation courroucé de vin Lui-même - tournoyant ou infectant de Dieu, du vin qui est l’intoxication fine est atteint dehors par lui à son peuple. La figure de la coupe d’étourdissement est passée au-dessus des psaumes de David et d’Asaph aux prophètes.

Le rejet, quoique pendant un bref temps, est sérieux parce qu’il résulte de la colère de Dieu. Sa colère est comme le "vin qui nous incite à chanceler" ; son impact est ressenti partout. Le peuple de Dieu vit une existence sans signification, sans sa présence. Ils prennent la défaite sérieusement, parce que l’abandon divin est la condition la plus malheureuse. Le psalmiste compare l’abandon à un état de la guerre ; comme une brèche dans un mur ; à un tremblement de terre (NIV, "tu as secoué… déchiré ouvert ;… il tremble, et à un état d’étourdissement.)

La lamentation est de temps en temps interrompue par de brèves prières pour le guérison et la restauration. Le peuple prie pour la restauration (v. 1) à la faveur de Dieu et pour la guérison "répare ses brèches".

Mais v.6 Pour (1) les mots, en commençant par naatataa, ne ressemble pas à une expression de quelque chose de digne de plainte - (seulement pour le vol, pas pour la victoire) ;

Nous prenons donc l’affirmation parfaite, comme v.4 a, comme base de la prière qui suit : Tu l’as donné à ceux qui te craignent une bannière pour se rassembler, c.-à-d., pour se soulever comme autour d’une norme ou comme une norme, à cause de la vérité - aident alors, pour que ton bien aimé puisse être délivré, avec ta main droite, et me réponde. Ce rendu, selon lequel le v.6 exprime la bonne cause d’Israël en opposition à ses ennemis, est également favorisé par l’effet intensifié de la musique, qui entre ici, car Sela prescrit.

Ici cela signifie donc "élever son individu" - (pour élever son individu comme bannière).

(note : Cette expression illustre la puissance "vers le haut-standard son individu," pour élever son individu vers le haut après la façon d’une norme, que "étant fait en anglais" peut signifier pour se rassembler (comme autour d’une norme).

Il est indéniable que pas simplement dans même plus tard (par exemple, Néh 5:15), mais dans également dans un hébreu plus âgé, mipªneey dénote la raison et le motif (par exemple, Deut 28:20). D’ailleurs la Psaumes 44 est comme un commentaire lequel la conscience des peuple de la révélation d’engagement brièvement et s’exprime largement au sujet de leur vocation dans le monde. L’Israël considère sa bataille contre le païen, en tant que maintenant contre Edom, en tant que se lever pour la vérité selon sa mission. En raison du fait et de la conscience qui est exprimée en v.6, surgit la prière dans v. 7, que Jahvé interviendrait pour aider et sauver son propres peuple de la puissance de l’ennemi, et là en tant qu’instrument.

III. Prière (60:7)

5 le cri familier des chants de lamentation est "sauve nous" (ou "exauce moi"). Le peuple prie pour être sauvé hors de leur situation désespérée : "sauve nous et aide nous avec ta main droite, ceux que tu aimes peuvent être délivré." Le demandeur demande rien de moins que l’intervention divine ("main droite") En se vengeant de l’ennemi et en défendant le croyant. La terre de la demande est la promesse de Dieu à son peuple. Ils sont ses "aimées" À cet effet ils désirent ardemment Dieu pour lancer leur délivrance juste comme il l’a promis.

Psaume 60:8-10

Une expression divine, lui promettant la victoire, qu’il a entendue, est augmentée en cette deuxième strophe. En raison de ceci il se sait pour être dans la possession libre et inaliénable de la terre, et en opposition aux nations voisines, Moab, Edom, et les Philistins, car il est leur seigneur victorieux devant qui, ils doivent se baisser. Le mot grand de la promesse dans 2 SAM 7:9f est certainement suffisant en soi pour rendre ce sentiment de la certitude intelligible, et peut-être v.8-10 sont seulement une reproduction imagée de cette expression ; mais il est également possible qu’au moment où Edom a menacé le royaume encadrant abandonné, David ait reçu un oracle du haut sacrificateur au moyen de l’Urim et du Thummim, qui lui a assuré de la possession non diminuée et continue de la terre sainte et de la surabondance de la souveraineté les nations encadrantes. Ce que Dieu parle "dans sa sainteté" est une déclaration ou une promesse pour l’accomplissement et l’inviolabilité sûrs desquels il met en gage sa sainteté ; c’est donc égale à un serment "par sa sainteté" (Psaumes 89:36 ; AMOS 4:2).

9 les tribus sont représentés par les deux tribus principales : Ephraïm et Juda (cf. 78:67-68). Ephraïm s’appelle un "casque" (Lit., "la force de ma tête"), symbolique de la force ; Juda est un "sceptre" (cf. GEN 49:10), symbolique de la domination et du gouvernement. Ephraïm représente les tribus nordiques et orientales, Juda les tribus méridionales. Ainsi toute la part de tribus dans le contrôle de Dieu au-dessus des nations.

10 l’autorité du seigneur au-dessus des nations est symbolisés par "bassin," "ma sandale," et un "cri" de victoire. L’image de Moab venant avec un bassin pour que le guerrier se lave les pieds représente sa subjugation au statut de serviteur. Edom sera trop dépossédé par le guerrier victorieux, comme est impliqué par l’idiome "que je jette ma sandale." L’autorité du seigneur s’étendra de l’est (Moab et Edom) à l’ouest (Philistin). Il n’y a aucune nation de bord au bord qui ne devra pas se soumettre à son autorité (cf. 46:8-9 ; 72:8). À cet effet il a également établi la règle due Messie de la dynastie Davidique, par laquelle les hostilités des nations cesseront ou seront brisées (Psaumes 2). Le seigneur n’a-t-il pas dit que Juda est son "sceptre" ? Juda représente ici la dynastie de Davidique (cf. 78:68-72), qu’il a choisi Ephraïm fini (78:67).

V. Rejet (60:11-12)

11-12 les résumés de lamentation à la lumière de l’oracle de l’espoir. David demande au seigneur de le mener dans la victoire (v.9). La douleur de la défaite et par conséquent du rejet apparent de Dieu est encore vraie (v.10 ; cf. v.1). Les questions sont conçues pour évoquer une réponse positive forte, car seul le seigneur mènera les armées dans la bataille et la victoire. L’expérience du rejet divin apporte hors d’une foi et d’une confiance remplacées dans le Seigneur. Le roi ne recherche pas une solution militaire à ses problèmes, tels que des alliances avec d’autres rois, parce qu’il sait que leur "aide [teshu`ah y-SH- ]… est sans valeur" (v.11 ; Cf. 33:16-17 ; 146:3). Il regarde au seigneur qui a abandonné son peuple dans l’espoir qu’il provoquera la victoire sur l’ennemi (v. 11).

VI. Confiance de la victoire (60:13)

13 ici la confiance de la protection divine (v. 4) coule plus de la confiance dans la victoire. L’oracle de Dieu (v. 5-8) était suffisant pour inspirer le peuple à ne pas craindre l’ennemi ou ne pas être préoccupé par le recul. Le seigneur est toujours avec lui, et il leur apportera par cette adversité, la force, avec la joie, et la victoire remplacées (cf. 44:5 ; 118:15-16). L’emphatique "avec Dieu" se tient contrairement à la position emphatique de "Dieu" dans v.1. Les derniers efforts son abandon et l’ancien sa délivrance. Le psaume s’ouvre avec le traitement de Dieu de son peuple en tant que ses ennemis (v.1-3) et se ferme avec son hostilité contre les ennemis de son peuple. Vraiment le seigneur est juste dans sa règle ! Bellinger explique le décalage comme résultant d’un oracle prophétique de salut, la victoire prometteuse (pp 73-76).

Ici est la lumière centrale, il révèle un grand chant révélant une grande vérité sur la véritable fonction d’Israël. Quand Amalek a combattu contre Israël à Réphidim, la victoire est venu quand Moïse a été soutenu par Aaron et Ur, a prié sur la montagne et Josué a été dans la vallée pour se battre. Après la victoire Moïse a construit un autel, et l’a appelé du nom de Jéhovah Nissi, qui veut dire l’Eternel est ma bannière! En effet ce fut la bannière d’Israël. La nation a été là pour montrer la gloire de l’Eternel devant les nations. Quand dans ces moments désignés, contre les forces du mal, ils furent vainqueurs, cette bannière fut honorée. Quand Israël se mit à perdre, ce fut le discrédit ! Ce chant a été écrit un jour où l’armée du côté de l’Eternel a été défaite. On voit ici que la déconfiture de son pays produit en lui, la douleur et l’angoisse vécut par le peuple de Dieu. La tristesse du chanteur fut causée par la disgrâce de la bannière, par le déshonneur apporté au nom de l’Eternel. La conception aussi tient pour coupable le changement dans le psaume de note de confiance à cause de l’ultime victoire. Ce sens de responsabilité pour la vérité à propos de Dieu, à cause de l’honneur de son saint nom est la plus sur garantie de victoire. Quand le peuple de Dieu est vaincu par les ennemis de Dieu, l’ultime tragédie n’est pas que le peuple soit en disgrâce, mais que tous se défendent car déshonoré. C’est parce que nous oublions souvent cela, nous connaissons la défaite, L’Eglise doit être le pilier et le terrain de la vérité! Quand elle tombe, la vérité souffre.*

*Notes supp : si "Le SEIGNEUR est ma bannière" ("Yahweh Nissi" de yhwh nissi) est le nom de l’autel (cf. Jacob dans GEN 33:20) ou d’un titre pour Dieu lui-même ne peut pas être connu pour certain. Le résultat est le même dans l’un ou l’autre cas. Le mot pour "bannière" (nes) reflète la racine "pour être haut," "élevé," ou "remarquable." L’allusion serait élevée vers le haut, personnel, comme norme et témoignage à sa puissance. La victoire, alors, c’était le seigneur, juste comme si la guerre avait été à lui. Il n’y avait aucune une telle chose comme "une guerre sainte" dans l’AT, mais il y avait des "guerres de Yahweh."